Dérades 2

40 photographies pour 40 textes, parce-que le réel permet aux mots de prendre le large. … crayonné dans l’été 2020, dans l’insouciance trop vite revenue, avant d’être emporté dans une nouvelle dérade, avant de numéroter chaque nouvelle vague, avant de dénommer chaque vaccin nouveau, avant de se cramponner aux images furtives, fugaces, fragiles. Avant de se raccrocher aux mots, avant de relire Rimbaud : «  Quant au monde, quand tu sortiras, que sera-t-il devenu ? 
En tout cas, rien des apparences actuelles. » JPLB mai 2022